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469. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « DÉSAUGIERS. » pp. 39-77

Dans ce Dîner de Madelon, sa petite comédie la plus charmante (1813), il se rencontre de jolis couplets qui expriment la Philosophie du sexaginaire : A soixante ans on ne doit pas remettre L’instant heureux qui promet un plaisir. […] Les instants où il parvenait à s’arracher au monde et où il s’asseyait parmi les siens, à sa table bourgeoise, étaient peut-être ses plus vrais jours de fête, à lui. — On a dit qu’il avait un certain fond mélancolique sous sa gaieté. […] Il semblait dire à tous en entrant : « Nous n’avons qu’un instant, laissons ce qui divise, et jouissons ensemble de ce que je vous apporte. » Il avait besoin de voir tous les visages heureux autour de lui.

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