Je ne devrais pourtant pas me plaindre : j’ai eu quelques instants de calme, quelques moments bien courts d’une joie pure. […] Je te laisse juger. » Combien d’épisodes semblables à celui que nous venons d’esquisser, combien de poëmes obscurs, inconnus, mêlés d’une fatalité étrange, s’accomplissent à tout instant, autour de nous, dans de nobles existences !