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1722. (1859) Cours familier de littérature. VII « XXXIXe entretien. Littérature dramatique de l’Allemagne. Le drame de Faust par Goethe (2e partie) » pp. 161-232

Ils s’assirent tous deux sous le poirier pour se reposer un instant, et il allait lui ouvrir son cœur en lui prenant la main ; mais, en sentant au doigt de la jeune fille l’anneau d’or, signe fatal, il craignit d’entendre un refus, et ils restèrent ainsi l’un près de l’autre assis en silence.

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