Un des grands traits de l’Évangile, un des grands caractères de son auteur, et auquel l’Humanité a instinctivement reconnu en Jésus un inspiré de la vérité divine, c’est la justification de cette loi de la femme. […] Mais ce n’est pas seulement la situation des masses profondes et obscures de la nation qui frappera alors d’étonnement et de pitié : la triste situation de cette petite couche d’aristocratie bourgeoise qui couvre et cache tout le reste, n’inspirera pas moins d’étonnement et de commisération. […] C’est le doute qui les assiège et qui les inspire, comme il inspira Goethe et Byron.