Le fanatisme, à diverses époques, étouffa les sentiments de douceur qu’inspirait la religion chrétienne ; mais c’est l’esprit général de cette religion que je devais examiner ; et de nos jours, dans les pays où la réformation est établie, on peut encore remarquer combien est salutaire l’influence de l’Évangile sur la morale. […] Je crois voir une preuve de plus de cette opinion, dans l’influence qu’a exercée sur les progrès de la métaphysique l’étude de la théologie.