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592. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre deuxième. L’émotion, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre troisième. L’appétition »

C’est donc bien le mouvement appétitif, sans idée de plaisir et de douleur futures, mais sous l’influence d’une peine ou d’un plaisir présents, qui est le premier de tous les mouvements attribuables à l’animal et non purement mécaniques. […] Un animal, sous l’influence des forces de tension accumulées dans son système nerveux, fait des mouvements en tous sens, sans aucune espèce de but : il éprouve un sentiment d’aise, de plaisir même : le résultat sera la continuation de mouvements semblables, généraux et mêlés ensemble, non intentionnels.

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