Voici son plan ; c’est elle qui parle : « Je me suis proposé d’examiner quelle est l’influence de la religion, des mœurs et des lois sur la littérature, et quelle est l’influence de la littérature sur la religion, les mœurs et les lois. […] Mais par quel motif ne veut-on pas que l’histoire participe à l’influence de la philosophie ? […] Ainsi, je le demande à madame de Staël, comment fait-elle remonter si haut l’influence d’un écrivain connu si tard ? […] Mais leur politique étroite et fausse n’est déjà plus, et les maximes des temps héroïques renaissent sous l’influence d’un guerrier et d’un législateur digne d’eux. […] D’aussi belles traditions pouvaient, sans doute, inspirer le poète, et ce lieu chéri des Muses était, comme on voit, sous l’influence immédiate du Ciel.