Le cardinal-ministre, pour combattre l’influence d’Anne d’Autriche, donne au roi qu’il gouverne un favori de sa main, Henri d’Effiat. […] Mais, tout en tenant compte de la prodigieuse influence qu’il a exercée sur son siècle, il ne faut pas oublier les premiers actes du drame historique à l’achèvement duquel il a si puissamment contribué.