Et c’est ainsi que nos femmes d’esprit ont perdu toute influence et tout empire ; on ne les aime pas, elles font peur ; on ne les écoute pas, elles ennuient ou elles fatiguent ; elles hurlent, elles déclament, elles se lamentent, elles prophétisent, elles soupirent des odes ; elles ne savent plus ni sourire, ni écouter, ni répondre, elles ne causent plus.