« Quoique Calaïs soit plus beau qu’un astre du ciel, toi plus léger que la feuille et plus perfide que la mer d’Adria, avec toi j’aimerais à vivre, avec toi je voudrais mourir. » A-t-on jamais chanté l’influence d’un premier sentiment et le retour des cœurs sur leurs traces en pareilles strophes ? […] Voilà les douces retraites, disons mieux, les demeures enchantées qui préservent votre ami des influences de l’automne. » Voilà comment il ajuste son propre portrait dans ce cadre rustique de sa vie à l’âge où la sagesse l’y confine.