Pourtant l’influence de Jean-Jacques sur lui fut immense, et, à cet âge de seize à vingt ans, elle prit dans son âme tout le caractère d’une passion. […] Que. si l’on ajoute à cette influence, d’autant plus heureusement littéraire qu’elle y visait moins, des lectures entrecoupées de Brantôme, de Bayle110, de Montaigne, de Rabelais, tomes épars dans l’atelier de son père et que l’enfant avait lus et sucés au hasard sans trop comprendre, mais parfaitement captivé par les couleurs du style ou par cette naïveté que Fénelon osait bien regretter, on reconnaîtra combien est véritablement et sincèrement française la filiation de M.