Cette première arrestation de M. de Canillac, et celle d’un autre gentilhomme, M. de Montvallat, firent une grande impression dans les campagnes : à force d’y paraître appuyer les faibles, les Grands Jours rendirent tout à coup ceux-ci insolents, et peu s’en faut oppresseurs à leur tour. […] Nous montâmes donc en carrosse avec quelques dames…. » Dans son mélange d’historiettes (et il appelle quelquefois ainsi d’affreuses histoires) il a soin d’en introduire de temps en temps d’agréables, et qui diversifient les impressions. […] Ce résumé des impressions reçues durant ces quatre mois de haute judicature, et du rôle que chacun y a tenu, est d’un écrivain qui ne laisse rien au hasard, et qui sait comment on termine un ouvrage même facile, et qu’il ne publiera pas.