On sent que pour résister à cette poignante et cruelle ironie de l’ange qui regarde la terre et lève les épaules sous ses ailes, — dernier mouvement de la femme que la religieuse n’ait pas réprimé, — il faut que Christian ait jeté dans l’âme troublée d’Éliane de bien brûlantes impressions. Et c’est l’histoire, bien plus trahie que racontée, de ces impressions, que j’appelle là troisième partie du roman de Francis Wey.