V La nature a donc deux faces, et les événements successifs et simultanés qui la constituent peuvent être conçus et connus de deux façons, par le dedans et en eux-mêmes, par le dehors et l’impression qu’ils produisent sur nos sens. […] À la fin, surtout au dernier chapitre, l’impression devient indéchiffrable ; cependant quantité d’indices montrent que c’est toujours la même langue et le même livre. — Tout au rebours pour le texte original. Il est très lisible au dernier chapitre ; à l’avant-dernier, l’encre pâlit ; aux précédents, on devine encore qu’il y a là de l’impression, mais on n’en peut rien lire ; plus avant encore, toute trace d’encre disparaît.