On me l’exposait ainsi tout récemment : « D’ordinaire, les étrangers quittent Paris sous le coup d’une fausse impression. […] Mais quelle va être mon impression sur l’homme, sur Verlaine, quand je vais me trouver devant lui ? […] — « Il faut donner une consécration symbolique à ses impressions », disait l’autre. […] Donc, ce qu’il nous raconte d’elle est moins un récit qu’une série d’impressions qui, tout en se complétant, montrent un but éloigné encore. […] Je l’ai connue dans la dernière partie de sa vie et je vous dirai mes impressions sur elle.