Maurice Talmeyr publie la troisième série de : Sur le banc, impressions et portraits d’audience. […] En le relisant, par exemple, je retrouve toutes nos impressions de collège pendant les journées de la Révolution de 1848. […] Je ressentis une étrange impression le jour où Gerbe me fit voir dans un œuf, sans mouvement la veille, un cœur qui battait. […] C’est le détail de ces impressions, des menus faits racontés sans leur donner d’importance, qui en fait l’intérêt. […] » C’est exactement l’impression que j’ai ressentie en lisant ce récit qui a pour cadre la retraite de Russie.