Quand on lit aujourd’hui le sermon de Bossuet, on comprend et l’on partage un peu, je l’avoue, l’impression de Mme de Sévigné, on se dit qu’on s’attendait à autre chose. […] Je ne puis entrer ici dans la discussion de ce point, ni approfondir mes doutes : je me borne à maintenir, à mes risques et périls, mon impression de goût, et à dire, quel que puisse être le correcteur, que la véritable et entière confession de la pénitente doit se chercher dans les Éditions premières.