Qui ne pleure sur toi, magnanime faiblesse, Esprit qu’un aiguillon divin excite et blesse, Qui t’ignores toi-même et ne peux te saisir, Et, sans borner jamais l’impossible désir, Durant l’humaine nuit qui jamais ne s’achève, N’embrasse l’infini qu’en un sublime rêve ! […] Il n’est pas impossible de s’intéresser à ces évocations, encore que le magicien garde un singulier sang-froid.