Pour peu qu’on soit sensible, à son nom l’imagination s’échauffe et l’âme s’élève. […] Les pensées se pressent et entrent en foule dans l’imagination, mais elles la remplissent sans la fatiguer jamais.
Pour peu qu’on soit sensible, à son nom l’imagination s’échauffe et l’âme s’élève. […] Les pensées se pressent et entrent en foule dans l’imagination, mais elles la remplissent sans la fatiguer jamais.