La source de cette description, comme de toutes celles de Dickens, est l’imagination pure. […] L’imagination de Dickens ressemble à celle des monomanes. […] Ce comique outré vient de l’imagination excessive. […] Vous avez l’imagination trop vive, et vous ne l’avez pas assez vaste. […] L’excès de cette disposition est la destruction de l’imagination et de la sensibilité.