Car c’est là qu’il faut toujours en revenir avec Quinet, ce gourmand et ce malade de mots… C’est cette fureur de l’expression gongorique et de l’image, qui donne à ce livre de la Création cet air lyrique et oraculaire qu’aucun autre ouvrage du même auteur n’eut au même degré que celui-ci, malgré sa prétention scientifique. […] Chacun d’eux avait creusé à son image la tête du poète. » La tête est devenue, à la fois et tour à tour, Jupiter, Neptune, Pluton, Mercure, Minerve.