C’est à vous, Messieurs, que j’en appelle : n’était-il pas l’image vivante du vieillard de Téos ? […] Elle est, pour la postérité, l’image vivante des générations qui ne sont plus.
C’est à vous, Messieurs, que j’en appelle : n’était-il pas l’image vivante du vieillard de Téos ? […] Elle est, pour la postérité, l’image vivante des générations qui ne sont plus.