On croirait, en les lisant, qu’il entra dans les croisades autant d’idées mondaines et frivoles que d’idées enthousiastes et sévères. […] Dans cet amas de poésies, les sujets et les idées sont peu variés ; le mètre l’est beaucoup. […] La croisade n’y paraîtra pas toujours une guerre sainte ; mille idées profanes se mêleront au zèle religieux. […] Il n’y a dans l’intervalle que le passage d’un grand homme et le mouvement d’idées qu’il fait naître. […] On n’avait pas l’idée des lieux et des distances.