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657. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 juillet 1886. »

Tous les murmures et toutes les caresses de l’idéal voltigent dans l’orchestre en même temps que s’y amassent les délires d’une volupté qui ne peut s’assouvir. […] Richard Wagner est le maître de ces conclusions toutes puissantes, qui vivent de leur seule beauté, qui résument supérieurement l’intensité d’une œuvre et qui sont poignantes par cela simplement qu’elles emportent l’esprit des auditeurs aux plus hautes sphères de l’idéal humain. […] Jusqu’au jour où la première pierre sera posée, les frais sont petits et notre provision pécuniaire sera plus que suffisante, mais plus tard j’espère réunir à Bayreuth les délégués de tout le Patronat pour obtenir une sûre base matérielle à l’œuvre idéale.

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