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656. (1902) Le culte des idoles pp. 9-94

« L’âme de la France, écrivait-il, c’est celle dont des poètes comme Racine et La Fontaine, des peintres comme Fragonard, des écrivains comme Montaigne, Montesquieu, Voltaire ont à jamais exprimé l’idéal. […] C’est à notre époque seulement qu’on s’est avisé de nous présenter pour modèle l’être incomplet, l’eunuque, le mutilé, et de nous donner sa maladie comme une qualité. » L’idéal d’Hugues Rebell choquait trop de préjugés niais, bousculait trop de petites habitudes, pour recueillir de nombreuses adhésions. […] Pour Flaubert, il ne s’agit point d’exprimer quelque chose, mais de réaliser un idéal absurde, dément.

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