L’idéal, répondent les fantaisistes, les rêves, les folles chimères, le style papillotant, l’art à facettes, voilà le beau ! D’abord je ne sais pas ce qu’est l’idéal, le savent-ils eux-mêmes ?… qu’ils me montrent un idéal et j’y croirai. […] Il est possible qu’on préfère et qu’on trouve plus nets les gens qui disent que le beau est la splendeur du vrai, qu’il y a de l’idéal partout et qu’il faut savoir le découvrir. […] Quelques preneurs de l’idéal et des belles formes accusent les réalistes de bassesse : les réalistes, disent-ils, ne veulent que des bourgeois ratatinés ou des paysans crasseux.