. — La Renaissance rétrécit l’idéal en France. — Le monde païen (classique) et le monde chrétien (romantique). — L’idéal social et l’idéal humain, ou Corneille et Racine, comparés avec Shakespeare, Dante, Byron etc. — Exposition. […] Était-ce ce grand idéal humain qui plus tard inspira Byron et Goethe, cet idéal à travers lequel les grands génies de tous les âges ont plongé leurs regards jusque dans le cœur de l’homme, cet idéal qui n’a que deux pôles : l’âme humaine et Dieu ? Non, l’idéal français tel qu’il se manifesta au xviie siècle n’était pas l’idéal humain, c’était l’idéal social. […] Victor Hugo faisait un repoussoir à l’idéal des modernes ? […] C’est tout un autre idéal, tout une autre poétique.