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1741. (1910) Victor-Marie, comte Hugo pp. 4-265

Ce battant, ces battements, ces repiquements incessants, infatigables dans un cercle idéal, (imaginaire), qui n’est pas si grand seulement qu’un anneau. […] Il y avait cette dualité parfaite, les deux colonnes du Temple, Dieu dit : — Il en faut deux ; et dans le sanctuaire… L’un sculptait l’idéal et l’autre le réel… On en oubliait les deux colonnes, ensemble, jumelles, de la place, de la barrière du Trône.

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