Elles composent sa règle et sa doctrine : en écrivant de la sorte il se conforme à son idéal du beau. […] Marcel Boulenger s’y efforce avec un tact extrêmement léger, à mi-voix, discrètement, mais avec constance, et si au demeurant il ne leur propose qu’un idéal nettement limité, ce n’est pas que le sien propre se trouve aussi réduit. […] Elles sont le porte-voix idéal de tous les sentiments délicats.