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570. (1896) La vie et les livres. Troisième série pp. 1-336

L’humanité est vulgaire, plate, veule. […] Il y aura, je l’espère, un art moderne qui tâchera de consoler l’humanité vieillie, de la délivrer, de la hausser jusqu’à la conception de la vie idéale. […] Car l’homme a des obligations envers l’humanité. […] Des palmiers apprivoisés, bénévoles, qui ne se haussent pas trop au-dessus de l’humanité. […] Pendant mille cinquante-huit ans, l’humanité n’avait cessé de s’abrutir.

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