Le spectacle de la nature et des montagnes dans les tempêtes, les miracles de la végétation, et en particulier le chêne qui en est le roi, enfin l’humanité et la femme, ce chef-d’œuvre de la création, y sont tour à tour célébrés comme racontant le nom et la gloire du Créateur. […] Il ne désespère pourtant pas ; comment l’humanité se laisserait-elle ravir ce que rien ne pourrait remplacer ?