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20. (1911) Lyrisme, épopée, drame. Une loi de l’histoire littéraire expliquée par l’évolution générale « Chapitre IV. Conclusions » pp. 183-231

Cela étant, pourquoi ne pas les chercher, dans leur suite ininterrompue, dans l’expression la plus consciente de l’humanité ? […] L’humanité n’est encore à bien des égards qu’une unité virtuelle ; nous y tendons sans cesse, par un sentiment de solidarité qui est la base de toute civilisation. […] Toute ère nouvelle de l’humanité est dominée par un principe nouveau. […] Je ne parle donc pas de l’inertie en tant qu’elle est un attribut général de la matière et de l’humanité ; je parle des retards qui sont dus au traditionalisme, à l’égoïsme, disons le mot, au pharisaïsme de quelques-uns, qui s’obstinent dans un dogme suranné, alors que l’humanité pensante a déjà atteint une région plus haute. […] et la force aussi qui élargit les groupes, de la famille à l’humanité ?

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