La fièvre d’agio a tellement gagné les Parisiens, que, si la fin du monde— dont il a été aussi question— était un fait annoncé officiellement, ils ne verraient dans ce grand dénouement de l’humanité qu’un prétexte à la baisse, — et avant de se repentir et de songer à leur salut, ils commenceraient par courir chez les agents de change pour les prier de vendre, et les trompettes des archanges auraient peine à dominer la voix des coulissiers annonçant le dernier cours aux fidèles du lucre rassemblés dans la cathédrale de leur dieu.