Le christianisme fait découvrir l’unité du genre humain. […] Voilà ce procès-verbal de l’univers connu en 1860 ; ce tableau immobilier et mobilier des mondes, ce domaine de la pensée humaine. […] Et elle s’endort dans ce mot humain, seule explication de la divine énigme. […] Le premier trait distinctif de la forêt vierge étant donc d’être impénétrable, le second de ne point convenir au développement de la race humaine, le troisième est l’énergie sauvage et pour ainsi dire forcenée de la végétation. […] Dans cet ordre d’idées, non-seulement la forêt vierge ne s’accommode point au développement de l’espèce humaine, mais encore elle serait plutôt faite pour dégrader ses facultés morales et intellectuelles.