Dans le fait, l’esprit humain ne procède guère autrement. […] La morale n’a-t-elle pas commencé par la défense de la chair humaine et de l’amour bestial ? […] L’esprit humain se partage en diverses manières d’être. […] Le réalisme doit reproduire ces deux faces de la vie humaine, sans quoi elle n’est pas le réalisme. […] Qui oserait nier en effet que la réalité humaine, de quelque côté qu’on l’envisage, ait sa poésie ?