Cela est une question humaine, en un mot, et non pas littéraire Pour celle-ci, je viens de vous le dire : le plus de prix que l’on pourra ! […] Aucun tribunal humain n’est parfait. […] Dans cet état de choses, qui est conforme aux œuvres humaines, comment les tribunaux littéraires échapperaient-ils à la loi commune ? […] Approuvons donc, ne serait-ce que pour cet effet salutaire, une habitude qui est à la fois bonne et mauvaise comme toutes les choses humaines.