» et l’on reconnaît qu’une révolution de trois jours fait plus pour le progrès de l’esprit humain qu’une génération de l’Académie des inscriptions. […] Ainsi un régime qui réalisa l’idéal de l’éclectisme passera, dans l’histoire de l’esprit humain, pour une période assez inféconde. […] Il faut s’attendre à tout dans ces grandes crises de l’esprit humain, aux sublimités comme aux folies. […] Le prophète, le poète des premiers âges passeraient pour des fous au milieu de la terne médiocrité où s’est renfermée la vie humaine. […] Ce jour-là, il n’y aurait plus de salut que dans les instincts moraux de la nature humaine, lesquels sans doute ne feraient pas défaut.