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691. (1894) Propos de littérature « Chapitre Ier » pp. 11-22

Cet état d’enthousiasme où l’âme entend soudain le vivant tressaut d’elle-même est une des plus nobles attitudes de l’homme et tout être capable de comprendre la beauté a dû le connaître au moins une fois. […] Griffin la générosité, par élans, à travers son amour de l’action qui lui fait aimer l’homme ; chez M. de Régnier une certaine pitié de l’homme pour l’homme — et assez puissante chez lui, bien que sous une apparence de réserve un peu dédaigneuse, parce qu’elle se nourrit fortement de son pessimisme. […] Il est plus difficile de distinguer la mesure de ses rapports avec l’homme. […] Qui nous dira l’homme mûr dont la vie ne semble un mensonge pour l’enfant qu’il fut ? […] Vielé-Griffin montre plus directement les choses ; souvent son vers s’adresse à l’homme en le dévisageant.

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