L’homme et le monde vus dans Montaigne. — 3. […] Il n’y a pas d’idée qui vaille qu’on tue un homme, ni qu’on se fasse tuer. […] Il lui propose l’homme comme l’universel objet de notre connaissance et de notre intérêt. […] Très clairement, très nettement, en plus d’un endroit, il nous offre l’homme en sa personne : « Chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition241 ». […] Bonnefon, Montaigne, l’homme et l’œuvre, Paris, 1893, in-4 ; P.