Il en est de même chez les hommes. […] « L’homme n’est complet que là où il joue », a dit Schiller ; il faut dire au contraire : L’homme n’est complet que là où il travaille. C’est le travail, après tout, qui fait la supériorité de l’homme sur l’animal et de l’homme civilisé sur le sauvage. […] Or, c’est ce qui arrive à l’homme moderne pour les émotions de l’art. […] Les hommes préhistoriques, selon M.