Le dogme brahmanique de la transmigration indéfinie des âmes lui semble une aggravation éternelle de cette peine de vivre infligée à l’homme. […] L’homme y jette, çà et là, un cri de détresse vers un firmament sans échos et sans profondeur : — « Ciel auguste ! […] Vivre et mourir une fois, voilà ce dont tout homme » est assuré. […] Les générations des hommes sont comme celles des feuilles. […] Mais Laffemas n’est pas homme à retourner d’une expédition les mains vides.