Non seulement il était peintre, mais encore il était homme du monde. […] L’homme ainsi formé conservera le don d’impressionnabilité. […] Dominique, lui, ne raconte pas où il est allé, ni ce qu’il a souffert des hommes ou des choses. […] Du peintre, de l’artiste, de l’homme même il semble que rien n’ait vécu pendant ce long mois. […] On peut affirmer que Dominique, comme me le disait une femme d’esprit, est un roman d’homme, intéressant surtout pour les hommes.