Tout son génie philosophique et historique, que je ne confonds pas avec son talent de peintre d’Histoire, n’est que du Christianisme abaissé, décapité, dédivinisé, sans ce qui est la toute-puissance et la toute vérité du Christianisme : — le Surnaturel ! […] Le croiront-ils, ceux-là qui prennent Michelet sur le pied du divinateur historique et du rénovateur social qu’il se donne, dans ce Cours de 1847 ? […] Michelet, qui a la haute habitude historique pourtant, s’obstine à vouloir faire une histoire qui remplacera Dieu par la légende révolutionnaire, et des fêtes dramatiques comme à Athènes, et dans lesquelles on verra les Eschyle et les Sophocle de l’avenir jouer dans leurs propres drames, inspirés par les héroïsmes de l’avenir !