Ce n’est plus qu’un monument historique, un témoin des siècles. […] Et s’il s’agit de la révélation considérée comme un fait historique, j’ai rencontré des ecclésiastiques qui reconnaissaient que pour un esprit muni de critique et non prévenu par la grâce, il peut y avoir, à la rigueur, autant de raisons de rejeter ce fait que de l’admettre. […] D’ailleurs, nous avons la preuve historique que la confession date des apôtres.