Il se délivre ici du parnasse historique qui le séduisit rarement et du romantisme historique dont les pages et les châtelaines lui plurent trop autrefois. […] Mais il n’y a pas récit de faits arrivés ou imaginés, histoire ou roman historique. Ce n’est plus du romantisme historique et de l’évocation ivre, ni du parnasse historique et de l’évocation pétrifiante.