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10. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370

Détruisez… car, nous l’espérons, vous n’allez pas vous en tenir à la matérielle et grossière doctrine de cette brutale école historique. […] Nous n’admettons pas que vous puissiez avoir l’âme assez basse, l’esprit assez court pour en rester à la doctrine de l’école historique. […] L’école historique, cela est évident, annule la critique littéraire. […] C’est une erreur de croire que l’école historique ait accompli tout le bien qu’elle avait à faire, et que le devoir de la critique de l’avenir soit de lui faire la place petite. […] L’école historique a découvert deux vérités, qui, bien qu’elles aient vaincu, ont encore à combattre et n’ont pas achevé de transformer la critique.

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