Cadre heureux et tout fait d’une histoire officielle de la littérature, l’histoire de l’Académie française serait plus qu’une histoire. […] L’histoire qu’il publie est la réimpression de deux anciennes histoires qu’on ne lit guères plus, nous dirons pourquoi tout à l’heure : l’histoire de Pélisson et celle de l’abbé d’Olivet, laquelle se ferme en 1700. […] C’est à elles qu’on devait laisser son Histoire de l’Académie. […] … Voilà probablement la raison pour laquelle l’histoire de d’Olivet vaut mieux que celle de Pélisson. […] Hors ces noms, qui importent vraiment, il n’y a, dans l’histoire littéraire comme dans l’autre histoire, que des babioles de talent et de renommées, à la mode aujourd’hui, au rebut demain !