Après la bataille ils montaient leurs lyres et ils en tiraient des sons de joie ou de deuil, selon qu’elle avait été heureuse ou malheureuse. […] Cela ne viendrait-il pas de ce que, dans l’impossibilité reconnue et peut-être heureuse de la rendre avec une précision absolue, il y a une lisière de convention sur laquelle on permet à l’art de se promener ?