Les morts dorment tous à l’entour sous leurs blanches pierres tumulaires, dans l’attente d’une résurrection heureuse. […] Ces inégalités peignent bien le Germain solitaire, énergique, imaginatif, amateur de contrastes violents, fondé sur la réflexion personnelle et triste, avec des retours imprévus de l’instinct physique, si différent des races latines et classiques, races d’orateurs ou d’artistes, où l’on n’écrit qu’en vue du public, où l’on ne goûte que des idées suivies, où l’on n’est heureux que par le spectacle des formes harmonieuses, où l’imagination est réglée, où la volupté semble naturelle. […] » Le langage, la poésie, les arts, l’Église, l’État ne sont que des symboles. « Ainsi, c’est par des symboles1428 que l’homme est guidé et commandé, heureux ou misérable ; il se trouve de toutes parts enveloppé des symboles reconnus comme tels ou non reconnus.