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608. (1865) Cours familier de littérature. XX « CXXe entretien. Conversations de Goethe, par Eckermann (2e partie) » pp. 315-400

Sur un ciel serein glissaient quelques petites nuées d’orage ; plus haut on en remarquait d’autres, ayant la forme de longues bandes, qui se dénouaient. […] Pendant qu’il me donnait ces hauts enseignements, nous avancions sur la route sablée qui conduit au jardin. […] La flèche ne s’éleva que très peu haut. […] Si le chêne croît dans l’épaisseur d’un bois, entouré de grands arbres, il se dirigera toujours vers le haut, vers l’air libre et la lumière. […] … » Nous étions arrivés sur le haut de la colline, nous longions la forêt de pins qui la couvre.

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